The security situation in the Sahel continues to deteriorate exponentially. The latest Global Terrorism Index shows an upsurge in terrorist attacks throughout the region and an appalling human toll. Between 2007 and 2021, terrorist attacks and terrorism-related deaths in the Sahel region increased by one thousand percent. The region now accounts for 35% of terrorism-related deaths worldwide, compared to 1% in 2007. In addition, it is estimated that more than 8.1 million people in the region face an alarming level of food insecurity, and more than 14.7 million people need humanitarian support. Faced with instability and the inability to provide for themselves, many young people are tempted to join extremist groups for more security and stability.  

For these reasons, the Extremely Together movement is seeking to establish a presence in the region and, with the support of the Swiss Department of Foreign Affairs, has already started dialogues with two organizations in Niger and Burkina Faso – Cercle Dev and Suudu Andal – to discuss youth-led solutions to violence

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La situation sécuritaire continue de se détériorer au Sahel de manière exponentielle. Le dernier indice de terrorisme global montre une recrudescence d’attaques terroristes dans toute la région et un bilan humain consternant. Entre 2007 et 2021, les attaques terroristes et décès liés au terrorisme dans la région du Sahel ont augmenté de mille pour cent. La région représente désormais 35% des décès liés au terrorisme dans le monde, comparé à 1% en 2007. Par ailleurs, il est estimé que plus de 8.1 millions de personnes dans la région sont confrontés à une situation d’insécurité alimentaire alarmante, et plus de 14.7 millions de personnes nécessitent un soutien humanitaire. Face à la crise sécuritaire et la situation instable pour les habitants de la région, beaucoup de jeunes sont tentés de rejoindre des groupes extrémistes pour plus de sécurité et de stabilité.  

Pour ces raisons, le mouvement Extremely Together cherche à établir une présence dans la région, et, avec le soutien du Département Fédéral des Affaires Etrangères de la Suisse, a déjà entamé des dialogues avec deux organisations au Niger et au Burkina Faso – Cercle Dev et Suudu Andal – pour discuter de solutions à la violence qui peuvent être menées par des jeunes.